Les Halles de la Cartoucherie à Toulouse, vue au coucher du soleil sur le parvis et le bâtiment

Bellevilles dans le podcast Dixit.net

Les Halles de la Cartoucherie à Toulouse, vue au coucher du soleil sur le parvis et le bâtiment

Merci à Sylvain Grisot pour l’invitation et le dialogue passionnant dans son podcast « Dixit.net »

Extraits de la discussion :

Avant qu’on rentre dans le détail de ce que fait la foncière Bellevilles, qui n’intervient assurément pas qu’à Paris, pouvez vous nous expliquer ce qu’est une foncière et l’approche un peu particulière que vous en avez ?

Alexandre Born > Une foncière peut acheter des immeubles, des logements, des locaux d’activités et de commerce. Elle les détient sur une durée longue, avec une logique patrimoniale. Cela veut dire qu’elle les garde, elle ne les revend pas forcément. Une foncière classique achète, gère et loue à des locataires.

Il y a des foncières dans le marché du commerce et du tertiaire, moins sur la question du logement. Elles se distinguent de la promotion immobilière, car elles sont dans une logique de temps long. Quels sont vos partis pris à la foncière de Bellevilles ?

Alexandre Born > Tu as évoqué le temps long, c’est essentiel et c’est notre point de départ. Derrière la foncière, il y a la volonté de casser la chaîne de l’immobilier souvent basée sur une logique très court terme : j’achète, je revends, je gagne vite de l’argent. La foncière est un outil du temps long.

Nous avons créé une entreprise solidaire d’utilité sociale. Le premier objectif de notre foncière est donc de servir l’intérêt général, ou une cause écologique, sociale, voire économique. Nos efforts et nos actions sont portées là-dessus.